En bref

    dimanche 15 février 2009

    Nuit

    Deux heures du matin, toujours debout, en train de rêvasser tout éveiller, je me dis que c'est vraiment le moment pour dessiner. Agis. Carnet qui se remplit, de taches (guère mieux), mais on s'en fou.
    Au bord de l'inconscient, je deviens mon propre spectateur, et pourtant j'agis.
    Je déconnecte, je reviens (me perd dans le monde réel ?), j'éteins la lumière, mais je reste hanté par des images qui veulent surgir, avec plus de force que d'habitude.
    La fatigue à ça de terrible qu'elle ouvre des portes qui ne veulent pas se laisser oublier. A nous de gratter pour satisfaire ces ombres du terrible souhait d'exister !

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